xoxo-it-s-me

It's my life, my thougts

Dimanche 20 juin 2010 à 18:24

voilà un article sur lequel je suis tombée par hasard dur internet. Je dois dire que ça me rappelle pas mal de choses... mes commentaires sont en rouge


Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ? Qui ne se rappelle pas avoir effeuillé la marguerite cherchant à vaincre l'affreux doute quant à l'amour du ou de la bien-aimée ? (sans tricher bien sûr...) Qui ne se rappelle pas les émotions du premier amour naissant à 14, 16 ou 18 ans ? (malheureusement, tout le monde se souvient... Moi il s'appelait Clément, et je l'appelais "mon petit mouton" parce qu'il avait les chevaux bouclés) Comment la proximité de l'élu(e) pouvait nous faire chavirer et rêver pendant des heures... avant même de lui avoir adresser la parole ? Nous étions en amour avec l'Amour.

La première sortie, le premier baiser, la première promesse, la première caresse, le premier projet rêvé à deux. Il était tellement merveilleux ; il était tellement beau (oh que oui...) ; rien n'existait plus sans lui ; l'avenir n'était pas possible sans lui. Notre amour était pur et éternel. Nous transformions le monde, avions les plus beaux enfants et nous vivions heureux. Rien ne pouvait nous arrêter. Sauf... (et oui... il y a toujours un mais...)

La première peine d'amour. Que de pleurs et de sanglots ! Comment a-t-il pu me faire cela ? (comment ai-je pû être aussi bête?) Jamais je n'aurais imaginé qu'il puisse être comme ça. Quel grand vide crée la première peine d'amour ! Que de mal au ventre et à l'estomac la perte de l'être aimé peut susciter. Quelle déprime ! Et juste avant de sombrer complètement, voilà qu'arrive... un nouvel amour. (et il s'appelait alexis... Mon deuxième grand amour ! )

Nous nous rappelons toujours avec nostalgie nos premières amours d'adolescence. Et comment l'apprentissage de l'amour a pu être parsemé d'embûches, mais aussi de plaisirs et de joies indescriptibles. (oh que oui !!) Jusqu'au moment où enfin la perle rare arrive et qu'on fasse le grand saut : on se promet de s'aimer toujours, pour le meilleur et pour le pire. (ça, j'ai toujours pas rencontré...)

La promesse du grand et bel amour, qui peut encore y croire de nos jours franchement ?

Avec tous les divorces autour de nous, tous ces couples qui se déchire. Faire le "grand saut" devient de plus en plus difficile...

Mais je ne désespère pas malgré tout...

Samedi 19 juin 2010 à 23:28

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 Qu'est-ce que la violence psychologique?


Il n'existe pas de définition universelle de la violence psychologique. Comme toute forme de violence apparaissant dans le cadre d'une relation, la violence psychologique, que l'on appelle aussi parfois « cruauté mentale », est un abus de pouvoir et de contrôle. Les comportements suivants sont généralement reconnus comme des formes de violence psychologique :

Rejeter la personne - ignorer sa présence ou sa valeur; lui faire comprendre qu'elle est inutile ou inférieure; dévaloriser ses idées et ses sentiments. Exemple : traiter régulièrement un enfant différemment de ses frères et sœurs, d'une manière qui laisse croire qu'on lui en veut, qu'on le rejette ou que l'on éprouve de l'aversion pour lui.

Dégrader la personne - l'insulter, la ridiculiser, lui adresser des injures, la parodier ou l'infantiliser; se comporter d'une manière qui porte atteinte à son identité, à sa dignité et à sa confiance en elle. Exemples : humilier la personne en public ou la traiter d'idiote; si elle est handicapée, contrefaire ses gestes ou sa démarche; traiter un aîné comme s'il était incapable de prendre des décisions.

Terroriser la personne - lui inspirer un sentiment de terreur ou de peur extrême; la contraindre par l'intimidation; la placer dans un milieu inapproprié ou dangereux, ou menacer de l'y placer. Exemples : hurler, blasphémer, obliger un enfant à être témoin d'actes de violence envers un membre de sa famille ou un animal qu'il aime; menacer une personne de l'abandonner, de la brutaliser ou de la tuer, menacer d'abandonner, de brutaliser ou de tuer un animal ou un être qui lui est cher; menacer de détruire ses possessions; menacer de la faire déporter ou institutionnaliser; traquer la personne.

Isoler la personne - Limiter son espace vital; réduire ses contacts; restreindre sa liberté de mouvement dans son propre milieu. Exemples : exclure un aîné des prises de décisions qui le concernent; enfermer un enfant dans un placard ou l'enfermer, seul, dans une pièce; empêcher la partenaire ou une personne âgée d'avoir accès à sa propre fortune ou de gérer ses finances; refuser à un aîné le contact avec ses petits-enfants; priver quelqu'un de moyens de déplacement ou de transport.

Corrompre ou exploiter la personne - L'amener à accepter des idées ou des comportements proscrits par la loi; l'exploiter matériellement ou financièrement; apprendre à un enfant à servir les intérêts de la personne qui abuse de lui plutôt que les siens. Exemples : exploiter sexuellement un enfant; laisser un enfant consommer de l'alcool ou des drogues; entraîner quelqu'un dans le commerce du sexe.

Priver la personne de chaleur humaine - Se montrer insensible et inattentif envers elle; faire preuve d'indifférence à son égard; ne s'adresser à elle qu'en cas de nécessité; ignorer ses besoins sur le plan mental. Exemples : ignorer les tentatives de communication d'un enfant; priver un enfant d'affection, de soins ou d'amour; traiter un aîné institutionnalisé comme s'il était un objet ou « un fardeau ».

• La violence psychologique s'accompagne ou non d'autres formes de mauvais traitements.

• Quelle que soit la forme que prend la violence — négligence, violence physique, exploitation sexuelle ou exploitation financière —, elle a des conséquences sur le plan psychologique. En d'autres mots, tout acte de violence comporte des éléments de violence psychologique.

• La violence psychologique suit un certain scénario; elle se répète et se renforce avec le temps. Laissée à elle-même, elle ne disparaît pas; elle ne fait que s'aggraver.

• Comme les autres formes de violence liée une relation, la violence psychologique s'abat surtout sur les personnes les plus démunies de pouvoir et de ressources, comme les femmes et les enfants.

• La violence psychologique peut miner l'estime de soi chez la victime.

• Chez les enfants, la violence psychologique peut nuire au développement psychologique, c'est-à-dire au développement de l'intelligence, de la mémoire, de la reconnaissance, de la perception, de l'attention, de l'imagination et du sens moral. Elle peut nuire aussi au développement social de l'enfant et compromettre sa capacité de percevoir, de sentir, de comprendre et d'exprimer des émotions.

La violence psychologique est-elle répandue?

Pour répondre à cette question, nous ne disposons que de rares études, car la violence psychologique est un sujet difficile à explorer, pour plusieurs raisons :

• contrairement aux autres formes de violence, la violence psychologique n'est reconnue que depuis peu;

• il n'en existe pas de définition universelle, et elle est difficile à définir;

• elle est difficile à détecter, à évaluer et à prouver;

• de nombreux cas de violence psychologique ne sont jamais dénoncés.

Ce qu’il faut savoir

Chez l'enfant, la violence psychologique peut entraîner de graves problèmes sur le plan des émotions et du comportement : dépression, absence d'attaches affectives ou émotionnelles avec le parent ou le gardien, faible capacité cognitive, résultats scolaires médiocres et compétences sociales sous-développées.

Des chercheurs qui ont examiné des enfants victimes de violence psychologique dans la petite enfance, puis de nouveau à l'âge préscolaire, ont constaté que ces enfants sont toujours en colère, non coopératifs et indifférents à  l'égard de la personne qui s'occupe le plus d'eux. En outre, ils manquent de créativité, de persévérance et d'enthousiasme.

Les enfants rejetés ont plus tendance que les autres à se montrer hostiles, agressifs ou passifs-agressifs, à être extrêmement dépendants, à avoir une opinion négative d'eux-mêmes et de leurs capacités, à être instables ou passifs sur le plan émotif, et à percevoir le monde qui les entoure sous un jour négatif.

L'agression verbale (cris, insultes) ou symbolique (claquement de porte, silence systématique) de la part d'un parent peut avoir des effets graves sur l'enfant. Les enfants exposés à ce genre d'abus affichent des taux d'agressivité, de délinquance et de problèmes relationnels plus élevés. Ceux qui subissent en outre des mauvais traitements physiques sont encore plus susceptibles d'éprouver ces problèmes.

Nous savons cependant que la violence psychologique à l'égard des aînées peut être le fait des individus ou du système, et qu'elle se manifeste dans le cadre de diverses relations et de divers milieux; elle peut être infligée :

• par le partenaire;

• par un enfant, adulte, ou un autre proche;

• par un étranger la famille qui prodigue des soins à la personne à titre d'aidant naturel ou de professionnel;

• par une personne occupant une situation de confiance.

Un aîné victime de violence psychologique pourra ressentir des sentiments d'extrême incompétence, de culpabilité, de manque de confiance, de dépression, d'échec, d'impuissance ou de désespoir. Les signes extérieurs d'un tel état peuvent facilement se confondre avec la perte des facultés mentales, de sorte que l'aîné sera considéré comme « sénile » ou « réduit l'incapacité », alors qu'il est en fait victime de violence psychologique.

Souvent, l'agresseur manifestera de la colère ou du ressentiment envers l'aîné devant des tiers. Il montrera un manque total de respect et de considération pour l'aîné en l'interrompant continuellement ou en l'humiliant publiquement. Ne pas tenir compte des désirs de l'aîné au moment de prendre des décisions qui le concernent est un signe manifeste de violence.

Samedi 19 juin 2010 à 18:53

 J'aime regarder les étoiles et imaginer que ce sont les personnes qu'on aime qui nous ont quittés.
J'aime les livres, surtout les auteurs Victor Hugo Et Apollinaire.
J'aime lire Harry Potter avant de m'endormir.
Je pleure devant beaucoup de Dessins animés Disney.
J'adore lire des thrillers.
Je déteste les manipulateurs.
Je déteste quand il fait chaud.
J'aime le foie gras et les pâtes.
J'aime monter à cheval.
J'aime aller au cinéma voir des films drôles ou tristes.
J'aime être avec mes amies et critiquer les personnes qui passent.
J'aime contempler le rosier dans mon
jardin.
J'aime passer des heures affalée dans mon canapé.
J'aime me promener à la montagne avec de beaux paysages.

Je déteste voir un(e) ami(e) pleurer...

Samedi 19 juin 2010 à 15:14


 STEWBALL

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Il s'appelait Stewball
C'était un cheval blanc
Il était mon idole
Et moi j'avais dix ans


Notre pauvre père
Pour acheter ce pur sang
Avait mis dans l'affaire
Jusqu'à son dernier franc


Il avait dans la tête
D'en faire un grand champion
Pour liquider nos dettes
Et payer la maison


Et croyait à sa chance
Il engagea Stewball
Par un beau dimanche
Au grand prix de St-Paul


"Je sais, dit mon père,
Que Stewball va gagner"
Mais après la rivière
Stewball est tombé


Quand le vétérinaire
D'un seul coup l'acheva
J'ai vu pleurer mon père
pour la première fois


Il s'appelait Stewball
C'était un cheval blanc
Il était mon idole
Et moi j'avais dix ans

Mercredi 9 juin 2010 à 23:52

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Aujourd'hui,
Je l'ai revu, depuis 8 semaines on s'était pas vu, juste il m'avait appelé à l'hôpital.
Il m'a emmené, au resto, il avait vraiment l'air content de me revoir, je sais pas comment je le sais, je l'ai senti c'est tout!
Mais je ne sais pas, je me pose pleins de questions...
Je sais pas, j'ai l'impression de pas intéresser les mecs pour ce que je suis mais plutôt parce que (sans me vanter hein) je suis bien foutue ou quelque chose comme ça! Même si j'ai pas l'impression qu'il est comme ça ça me fait quand même vachement flippé puis aussi le fait qu'il soit plus vieux que moi. J'ai pas envie de m'engager vraiment pour l'instant, il me plaît, mais si ça se trouve on a pas les mêmes attentes et surtout j'ai super peur de le décevoir. Je suis plus jeune et tout, donc je sais pas je me dit peut être je vais le décevoir et tout je me pose trop de questions je crois en fait je crois surtout que j'ai peur de me lancer... 
Mais c'est vrai que je ne peux pas non plus contrôler sur qui je vais craquer, et je sais pas si je serais plus heureuse en sachant qu'au moins j'aurais essayé, plutôt que d'avoir des regets de ne pas l'avoir fait.

Bref je suis perdue!

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